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Colisée, une entreprise à mission 

Face aux défis majeurs de la société, nous avons entrepris de longue date une transformation durable. Elle s’est traduite en 2021 par un changement de nos statuts pour devenir une société à mission, et par l’adoption d’une raison d’être : s’engager pour le mieux-vieillir afin de faire grandir durablement notre société. Toutes nos activités sont désormais engagées dans le souci du bien commun, au service des habitants et de leurs proches, des collaborateurs et de la planète. 

Devenir une société à mission et s’engager pour le mieux-vieillir

POUR UNE AMÉLIORATION CONSTANTE DE LA QUALITÉ DE VIE ET DU BIEN-ÊTRE

Le bien-être de chacun est au cœur de notre projet d’entreprise depuis l’origine. Il est désormais inscrit dans nos statuts de société à mission avec une raison d’être : « S’engager pour le mieux-vieillir, c’est faire grandir durablement notre société ». Plus qu’une évolution statutaire, cette démarche nous engage dans une transformation durable de notre entreprise. Nous avons aussi rejoint la Communauté des Entreprises à Mission, afin de partager nos réflexions et expériences avec des pairs. 

Cette décision est un aboutissement. Celui d’un engagement de longue date et de pratiques responsables pour l’amélioration constante de la qualité de vie offerte aux habitants et pour le bien-être des collaborateurs dans une logique de symétrie des attentions. La prise en compte des enjeux de développement durable dans l’ensemble de nos activités a également été initiée depuis de nombreuses années pour lutter contre le changement climatique et à travers nos valeurs CORE (COhésion d’équipe, Respect de l’autre, Engagement). 

C’est une décision volontaire de notre part, une direction que nous nous fixons et des axes de développement que nous nous engageons à respecter. Nous avons donc formalisé une feuille de route basée sur les critères d’environnement, de société et de gouvernance (ESG) et fondée sur trois objectifs et 18 engagements que nous devons atteindre. Ils s’appuient sur le Pacte mondial et les 17 objectifs de développement durable définis par les Nations unies, dont nous sommes signataires depuis 2021, pour parvenir à un avenir meilleur et plus durable pour tous.

Un comité de mission, distinct des organes existants, a été instauré pour faire avancer la réflexion et l’action, mais aussi pour suivre leur bonne exécution. Il réunit une diversité de personnalités et de profils spécialistes du grand âge, dirigeants d’entreprises, responsable ESG et collaborateurs de Colisée. En France, nous avons mis en place un Conseil de la Vie Sociale afin de nourrir les travaux du comité de mission et de toujours mieux prendre en compte les besoins et attentes.

Des engagements, nous en prenons, nous les mettons œuvre et nous en mesurons les effets pour nous donner des objectifs plus ambitieux dans une démarche de progrès continu, sur le long terme. Le tout est réalisé sous le contrôle de notre comité de mission et d’un organisme tiers indépendant (OTI), qui certifie la progression de l’entreprise dans l’accomplissement de sa mission et l’atteinte de ses objectifs statutaires. 

 

À retenir

  • Fédérer une communauté d’échange, pour faire progresser la qualité de vie des seniors
  • Améliorer la qualité de vie des équipes, revaloriser les métiers 
  • Réduire l’impact de nos activités, protéger la qualité de vie sur la planète 

Rapport du Comité de mission 2022

Les valeurs qui nous portent 

Chacun de nos collaborateurs est animé au quotidien par l’esprit CORE 

Une raison d’être pour trois raisons d’agir  

LE DÉFI DU VIEILLISSEMENT

Nous devons répondre aux évolutions démographiques et aux nouveaux modes de vie car le vieillissement de la population constaté dans le monde entier constitue un défi d’une ampleur sans précédent. En France par exemple, le nombre des 75-84 ans va progresser de 47 % d’ici 2030, puis la population des 85 ans et plus  augmentera de 88 % entre 2030 et 2050. Ce vieillissement ne sera pas pour autant problématique si l’on s’y prépare efficacement.  

Adapter notre offre et nos pratiques sera une nécessité mais également un formidable challenge. D’abord sur le sujet du traitement des pathologies, telles les affections relatives aux os, les maladies cardiovasculaires ou les pathologies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer, contre laquelle nous avons adopté une approche alternative : la méthode Montessori. Il s’agit aussi de s’occuper de l’état psychologique des plus âgés, qui reste trop souvent méconnu.

Par ailleurs, la nouvelle génération des habitants qui rejoint nos maisons de retraite médicalisées et résidences senior a eu 20 ans dans les années 1960. Elle sera donc certainement exigeante quant à ses désirs d’autonomie et de liberté. Il faudra s’adapter à ces aspirations croissantes par la diversification et la personnalisation de l’offre, notamment grâce au Plan d’Accompagnement Personnalisé.

Enfin, le digital deviendra un élément incontournable des modes de vie de personnes âgées qui sont de plus en plus familières avec les outils numériques. Il permet d’améliorer leur confort, de libérer du temps aux collaborateurs pour favoriser les interactions humaines et de créer un lien quotidien avec leurs proches, comme en témoigne la solution Portal+ que nous avons mise en place dans nos maisons.  


LE DÉFI DE LA CONFIANCE 

Quel modèle permettra d’accompagner dignement les seniors dans le contexte de l’allongement de la durée de vie ?

Nous vivons dans une société de la méfiance : les citoyens sont de plus en plus exigeants avec les institutions publiques et privées. Il s’agit donc de bâtir des liens de confiance entre les personnes âgées, leurs proches et les professionnels du grand âge. 

Premier levier : la pédagogie objective, pour aider les personnes en contact direct avec nos établissements à en comprendre le fonctionnement. Par exemple, le rôle des équipes de soin, la nature des prestations et les modalités d’écoute et de contrôle.

La confiance passe aussi par l’écoute des besoins individuels des personnes âgées, non seulement en matière de soins médicaux mais aussi de qualité de vie. Un établissement est un lieu pour continuer sa vie, c’est un nouveau « chez-soi », un nouveau domicile. On y vient certes plus dépendant qu’avant, mais avec son caractère, ses habitudes, ses goûts. C’est là où le Plan d’Accompagnement Personnalisé prend tout son sens.  

Par ailleurs, la confiance de nos habitants passe par celle envers nos collaborateurs. Sans des équipes compétentes, dévouées et attentives, nos meilleures intentions ne servent à rien. Or, pour que les équipes créent la confiance, il faut qu’elles soient elles-mêmes en confiance, selon le principe de la symétrie des attentions. 

Il est enfin grand temps de faire évoluer notre écosystème pour permettre davantage de fluidité et de connexion entre nos métiers. À nous de décloisonner l’économie du grand âge, de travailler de façon ouverte et intégrée et de construire des liens entre les différents services, dans et hors les murs des maisons médicalisées. Le bénéfice reviendra à la personne âgée et aux professionnels qui s’attachent à préserver ses capacités physiques, son indépendance, son libre arbitre, sa relation avec ses proches et sa place dans la société.              


LE DÉFI ÉCOLOGIQUE 

La lutte contre le dérèglement climatique est une urgence mondiale pour tous, y compris pour le secteur du troisième âge. Œuvrer à la qualité de vie des personnes que nous accompagnons, c’est aussi protéger notre environnement et les conditions de vie sur notre planète. Nous donnons toute leur place aux aînés dans cette transition majeure, qui ont le pouvoir d’y contribuer, pour leur bien comme pour celui des générations futures.  

Cette évolution indispensable est une opportunité d’améliorer les services, de favoriser le bien-être grâce à un environnement mieux préservé, de tisser des liens étroits sur chaque territoire avec des partenaires animés par la même volonté de répondre aux besoins de la société. C’est aussi s’adapter aux nouvelles aspirations en matière d’alimentation, en accordant la priorité aux modes de production responsables et locaux et en diversifiant les apports en protéines, en alliant plaisir de manger et équilibre nutritionnel. C’est encore déployer une charte d’achats responsables en intégrant plus de critères environnementaux.

Ensemble, nous devons contribuer à la réduction des émissions globales de gaz à effet de serre. Achat de biens et services, consommation d’énergie, déplacement des collaborateurs, gestion des déchets… nous mesurons toutes nos émissions induites directement ou indirectement par nos activités.  Cela permet de définir des plans d’action concrets et pilotables, évalués par des tiers. Dans notre métier, cela se traduit notamment par des investissements dans les bâtiments et des équipements pour optimiser leur consommation énergétique ou utiliser de l’électricité verte. 

Enfin, il s’agit de mesurer les émissions liées aux activités sur l’ensemble de la chaîne de valeur et notamment en amont : celle des fournisseurs. Chaque secteur d’activité fera évoluer d’autant plus vite ses pratiques qu’il saura enclencher des dynamiques positives, associant toutes parties prenantes dans un effort collectif. Le partage des bonnes pratiques, la définition des meilleurs standards, l’accompagnement des fournisseurs dans leur transformation sont autant de moyens concrets pour accélérer l’action climatique. 

Qu’est-ce qu’une société à mission ? 

Depuis 2019, la loi PACTE (Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises) oblige toute entreprise à prendre en considération les enjeux sociaux et environnementaux de son activité. En clair, elles doivent concilier vocation commerciale et contribution au bien commun. Mais pour aller encore plus loin encore, la loi introduit les notions de raison d’être et de société à mission pour les entreprises volontaires.  

La raison d’être est la première étape vers la société à mission. Elle définit une ambition, formalisée par une phrase. La société à mission, elle, implique un changement de statut et définit des engagements précis et objectifs opérationnels à atteindre pour y parvenir. Elle prévoit que l’entreprise doit :

  • définir et inscrire dans ses statuts sa raison d’être et les objectifs associés pour la faire vivre ;
  • installer un comité de mission distinct des organes sociaux et chargé de suivre la réalisation de cette mission ;  
  • désigner un organisme tiers indépendant pour en vérifier la bonne exécution ; 
  • se soumettre à un audit extra-financier externe pour vérifier que l’entreprise met bien tout en œuvre pour atteindre les objectifs qu’elle s’est fixés. 

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